Bonjour. Je vous écris depuis la Maison Médicale Santé Plurielle.
Nous avons reçu le Schieveniouz via l'intermédiaire de ******. Un tout grand merci pour cette belle initiative. Nous serons ravis de mettre tous les prochains n° (papier) à disposition du public de Santé Plurielle.
Anaïs MAUZAT (Maison Médicale Santé Plurielle)
Notre réponse:
Merci, Anaïs, pour votre réaction. Vous êtes dorénavant dans notre liste de diffusion et recevrez les prochains numéros automatiquement. René
Cher Schieve Niouz,
j’apprécie votre système de «thème central» et je voudrais vous en proposer un pour un futur numéro_: l’infantilisation des patients dans les institutions en santé mentale!
Quiconque a passé un peu de temps dans un hôpital psychiatrique, un centre de jour ou une Initiative d’Habitation Protégée se rend bien vite compte du fait qu’on y vous prend souvent pour un demeuré que l’on doit prendre par la main pour lui faire faire parfois le plus simple des exercices.
Pourtant, notre problème n’est pas nécessairement l’intelligence, ni la débrouillardise, mais bien un mal-être – une souffrance – psychique.
D’où peut donc bien provenir cet amalgame_?
Je peux comprendre que certains médicaments rendent un peu «lent», mais tout de même. Cette infantilisation peut prendre des formes diverses: outre la «prise par la main» déjà citée, je voudrais citer une des plus belles âneries jamais entendue: «il y a une solution à tout problème»!
Oui, ce genre de phrase peut de prime abord servir à redonner du courage à quelqu’un, mais soyons sérieux: non, tous les problèmes ne sont pas surmontables et s’en voiler la face est digne d’un petit enfant...
Alors, l’infantilisation_? Bienveillance à outrance ou préjugé du soignant vis-à-vis du soigné?
Petit Bilbo
Notre réponse:
C’est un thème récurant dans la santé mentale qu’une brève réponse telle que celle-ci ne pourrait même pas commencer à répondre. Un article plus élaboré serait en effet peut-être intéressant.
Cher Schieve Niouz,
Je suis plutôt un représentant de ce que vous appelez "citoyen lambda" dans votre édito, n’ayant rien à voir avec la santé mentale de prime abord, mais j'ai eu l'occasion de lire le premier numéro. Si, globalement, j'apprécie, je me pose toutefois une question.
Vous présentez sur la deuxième page une photo intitulée "Vue du toit des locaux de la PFCSM".
Celle-ci n'a finalement qu'un lien très ténu avec l'article auquel elle se réfère.
Est-ce une manière (peu voilée) de boucher des trous?
F. Slots
Notre réponse:
Il est en effet assez difficile de trouver des images intéressantes en relation avec la santé mentale. Peu de gens se sentent assez à l’aise pour se faire photographier, surtout en tant que patient. Nous avons donc dû faire usage de subterfuge pour le premier numéro, mais tentons d’améliorer la situation pour les futurs Schieve Niouz. Avez-vous remarqué les dessins de personnages sur presque toutes les pages?
Bonjour,
Pouvez-vous nous envoyer la version papier du journal lorsqu’il est diffusé? L’idée est de le mettre à disposition des patients de l’hôpital de jour psychiatrique. Merci d’avance,
(anonyme)
Notre réponse:
Tout d’abord, merci de nous avoir contacté.
Nous avons ajouté votre adresse dans notre liste de diffusion, vous devriez donc recevoir automatiquement les prochains numéros, dont celui-ci.