La crise sanitaire a mis en veilleuse la plupart de nos activités en présentiel.
Le risque serait grand d’en rester anesthésiés.
Sans vie en société, sans la rencontre de l’autre, une société se recroqueville, s’étouffe et meurt.
Contaminés par la peur et l’inquiétude, confinés dans nos maisons nous risquons la sclérose_!
Il est temps pour nous de reprendre notre vie le plus normalement possible.
Nous voulons pouvoir regarder les yeux dans les yeux à nouveau, et plus seulement au travers d’un écran.
En cette rentrée, nous repartons donc masqués, mais motivés, impatients aussi de pouvoir démarrer de nouveaux projets.
Luc Detavernier